Ce camp est entouré de filet métallique et de piques de bois, une sécurité plus pauvre que ce à quoi vous vous attendiez ... pourtant des hommes armés y patrouillent de temps en temps. Au centre de ce camp, de multiples tentes habitées. Mais ce qui est intéressant pour vous c'est la plus grande tente, au fond du camp. Elle contient des ressources.
Type de ressource
Renards
Cochons
Lapins
Aiguilles Blanches
Baies cœur de mer
Médicaments
Quantité
4
6
8
7
9
5
Les médicaments des hommes peuvent être utilisés lors de vos soins, leurs effets sont encore inconnus, à vous de le tester ou non sur vos patients.
Loups captifs
- Shara (Agmark), capturée le 10 octobre. - Requiem (Inkyva), capturée le 17 octobre.
Dernière édition par Destin le Mer 17 Oct - 12:25, édité 2 fois
Je les ai senti au retour d'une partie de chasse terriblement infructueuse, la nuit tombée depuis longtemps, en me figeant en reconnaissant leur odeur au milieu du rien. Et oui, oui, il y a des traces humaines ici! Personne ne saurai les fuir bien longtemps. Ils sont de retour ici, ils sont de retour et je sais déjà qui vont en souffrir les premiers. Cette odeur a un goût de revanche, un goût de revanche trop longtemps attendue sur les enflures qui peuplent ces terres.
L'aube pointe à peine quand j'atteins leur camp, paumé au milieu des plaines - tiens, n'est-ce pas ici que j'ai rencontré ma grande amie Kira? Je me demande comment elle va s'en sortir face à cette menace... Comment ils vont s'en sortir tous, d'ailleurs. J'ai rampé jusqu'à la clôture, une bien maigre protection face aux dizaines de canidés affamés qui rôdent dans le coin. J'aurais tout mon temps pour les observer de tout mon soûl plus tard. Pour l'instant, je meurs de faim, et il est temps de revenir à quelque chose que je maîtrise bien mieux que l'art étrange de courir après d'autres animaux encore en vie pour les tuer soi-même.
Le loup avait faim ; la solitude le poussait à se rendre un peu partout où il pouvait avoir une chance de trouver à manger. Les odeurs fusaient de partout, et une d'entre elle le guida jusqu'aux grandes plaines, là où il traînait souvent. Aidan avait senti quelque chose d'étrange. Le loup brun avait suivi une piste qu'il ne connaissait guère ; sur ses gardes, il suivit la route de nuit pour atterrir jusqu'à un endroit encore inconnu pour lui. Valse Intrépide avait peur, et faisait très attention. Il se tapissait sur le sol, frôlant cette terre sèche et pourtant bien vivante. Il progressait jusqu’à découvrir une sorte de camp, où de viles créatures se tenaient debout sur leurs deux pattes. Armés jusqu’aux dents, ils semblaient garder un camp qui lui n’avait pourtant pas l’air si bien protégé ; les pics en bois et les filets métalliques étaient peu nombreux mais bien installés. Aidan avait senti une bonne odeur émanant du fond du camp : allait-il trouver quelque chose à manger ? S’il voulait rejoindre la tente du fond, il devrait contourner tous ces bipèdes, et se frayer un chemin parmi les pics de bois. Pourrait-il réussir cette épreuve ? Effrayé, il se coucha au sol et rampa sur le côté du camp, cachant sa fine masse brune sous du bois parqué vers l’extérieur. Se cachant comme une loutre et prenant le temps de poser une patte après l’autre, il fit le moins de bruit possible, et tenta de repérer les potentiels ennemis avec son flair de prédateur.
Valse Intrépide tentait de se frayer un chemin entre les pics ; observant les humains faire des allers et retours pour monter la garde, il pensait pouvoir y arriver en y allant au bon moment. Ils faisaient les cent pas, tandis que certains autres luttaient contre la fatigue qui les prenait. Aidan devait se lancer. Arriverait-il à se frayer un chemin pour rejoindre la grande tente ? Valse Intrépide serait-il prêt à risquer sa vie pour récupérer de quoi manger et assurer sa survie ? Le loup avait peur, mais tentait tant bien que mal de se rassurer.
Allez, ce n'est pas bien compliqué. Je n'ai qu'à passer par là, attendre que celui-ci s'éloigne pour me faufiler derrière cette barrière. Là, il ne me verra pas. Si je bondis sur la caisse à côté, je ferai trop de bruit et ils m'entendront très certainement. Qui sont ces prédateurs ? Ont-ils l'ouïe du loup ou d'un sourd ? Peuvent-ils voir dans le noir ? Est-ce qu'ils peuvent sentir mon odeur ? S'ils m'avaient senti, ils m'auraient senti arriver et m'auraient déjà tué. Et s'ils avaient une bonne ouïe, ils m'auraient déjà entendu me faufiler jusqu'à eux. Maintenant, c'est à moi de jouer. Je n'ai pas le droit à l'erreur. Allez Aidan. Se disait-il intérieurement.
Plus loin, le loup aperçu une ombre. Tapis sur le sol, caché parmi la végétation, deux yeux semblaient briller dans le noir. Le solitaire jeta un oeil rapide et discret avant de se demander si un autre loup n'avait pas eu la même idée que lui. Valse Intrépide devait avancer. Il n'avait pas le choix : le loup s'était déjà engagé dans le camp.
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Aidan avait réussi à rejoindre la tente sans encombre. Le mâle entrait progressivement dans la petite structure faite de tissus en tous genres. Tapis dans l'ombre, il entra dans une sorte de caverne d'ali-baba, où proies et objets divers y étaient entreposés. Le loup devait faire vite et choisir une chose à rapporter dans sa tanière. Avec le mauvais temps et l'épidémie, il pourrait peut-être prendre une de ces boîtes - le mâle brun savait que les guérisseurs utilisaient ces choses étranges pour soigner leurs malades. - Valse Intrépide s'empara de l'une d'elles ; tant pis pour les proies, il reviendrait plus tard ! Le loup n'avait pas le temps. Il devait sortir d'ici avant que quelqu'un ne le démasque.
Valse Intrépide sorti de la tente avec sa boîte dans la gueule. Très vite, il pris la fuite en se faufilant derrière les tas de ferraille. Le mâle avait réussi son coup. En sortant du camp de bipèdes, il aperçu quelques autres canidés ayant eux aussi tenté leur chance. Les cris commencèrent à se faire entendre dans le camp. Heureusement pour le loup, il ne s'y trouvait plus. Mais qu'en étaient-ils de ces autres vagabonds, certainement démasqués et chassés ? Seraient-ils tués ? Aidan ne devait pas faire demi-tour pour s'assurer de ça. Iil devait fuir. Et vite !
+ 1 médicament
Dernière édition par Aidan le Mer 5 Sep - 16:37, édité 2 fois
Le membre 'Aidan' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé pillage' :
InvitéInvité
Ven 31 Aoû - 17:41
« . »
Piller
force 9 - agilité 9- endurance 19
M aëlstrom Je sentais Je voyais Je courais Mes sens étaient si alerte que mon crâne bouillait , je les avais senti et l'excitation qui en régnait ne faisais qu'accentuer ma vitesse de course. Ils allaient être fier je le savais. Leurs campements se rapprochait lorsque d'autres odeurs me firent grimacer. D'autres loups et ces loups avait la même idée que moi,accélérant rapidement , pour moi il était impensable que ceux-ci prennent ma place qui me reviennent de droit ; J'étais moi et moi seul celui que les humains préférait et faut dire que je détestais profondément la compétition. Je fîs face à clôture argenté fixant mon regard sur les alentours . Même emplacement stratégique. Les armes au fond à gauche , les provisions au fond à droite derrière la tente qui abrite les chiens. Mes crocs se plantèrent dans la clôture de façon à ce mon corps puissent y passer avec un peu de mal mais avec effort.
Que tu croyais, idiot. Que tu croyais! J'ai senti tous mes poils se hérisser quand un cri d'humain a claqué dans l'air, quelques secondes à peine après avoir franchi la clôture improvisée en rampant sans trop de précautions vers ma cible. Une main tendue vers moi, accusatrice. Des hurlements, une pagaille monstre qui se répand comme une traînée de poudre dans le camp. Et merde... Une ombre est passée derrière moi, pile devant l'endroit d'où je venais, et je n'ai pas réfléchi plus longtemps avant de détaler entre les tentes, l'adrénaline qui envahit brusquement mes veines. Merde, merde, merde, merde!
J'ai viré à droite brusquement en tombant presque nez à nez avec un autre humain, et en lâchant un geignement en sentant le choc de pierres contre mon dos. Eugh, ça fait mal, cette idiotie. Enfin, pas autant que ma rencontre brutale avec une plaque de tôle en équilibre bancal que ma fuite a jugé bon de me faire tomber en pleine figure pour m'érafler le visage - encore une fois, tiens. Des mots hurlés à travers tout le camp. Chaos ambiant, presque assez pour m'exciter, si ce n'était que je suis pas loin d'être en danger de mort avec ces conneries... C'est des aboiements que je reconnais au loin? On dirai bien des aboiements. Chouette, un problème de plus.
Je n'ai pas vu le loup suivant avant de lui rentrer dedans, trop concentré sur l'idée d'affronter des clebs en plus du reste pour faire gaffe à ce qui pouvait se trouver derrière ce virage. Roulé au sol tous les deux; j'ai bondi à un bon mètre de lui avant de le reconnaître. Ne serai-ce pas mon ami du théâtre au pelage de nuit? « OH TIENS, COMME ON S'RETROUVE! » je lui ai hurlé au visage, avant de déguerpir de nouveau sans attendre sa réponse. Réponse qui aurai été tout à fait joyeuse à coup sûr, le connaissant.
J'ai d'autant plus accéléré en voyant approcher à toute vitesse un bout de grillage endommagé. La sortie, la foutue sortie! Enfin, je serais sorti si ce n'était un boulet de canon qui m'a percuté avant de l'atteindre. Toutou en vue, ça a fait dans mon esprit, une demi-seconde avant de sentir mon épaule me brûler sous le coup des griffes du canidé domestique. Mes réflexes n'ont pas attendu avant de l'attraper par la nuque pour le projeter au sol, bien plus petit que moi qu'il est, ce faiblard. Je me suis glissé sous les barbelés aussi vite que j'en suis capable, le coeur battant, et grimaçant en sentant les épines de fer m'arracher le dos au passage. Sors, sors, sors, abruti! Une dernière poussée, un dernier cri bref en sentant ma chair déchirée, et je ne perds pas de temps à vérifier l'emplacement de l'autre abruti avant de m'enfuir à toute allure. Vous n'm'aurez pas eu cette fois, vermines!
Les humains rentrent d'une expédition. Ils y ont relevé leurs divers pièges, y capturant par la même occasion une louve.
Cette louve est Shara, chasseuse Agmark. Elle est enfermée dans une cage dans l'une des plus grandes tentes. D'autres cages s'alignent le long de l'abri, mais toutes sont vides pour l'instant. De l'eau et de la nourriture lui sont fournies.
Les humains rentrent d'une expédition. Ils y ont relevé leurs divers pièges, y capturant par la même occasion une louve.
Cette louve est Requiem, guérisseuse Inkyva. Elle est enfermée dans une cage dans l'une des plus grandes tentes. D'autres cages s'alignent le long de l'abri, dont l'une contient une louve blanche appartenant aux Agmark. De l'eau et de la nourriture lui sont fournies.
Jeu 12 Mar - 12:09 par 
