Messages : 132Points : 314Age : 1 anSexe : FemelleRang : GuerrièreBlessure : Maladie : Détails blessures : Aucun symptôme.Dé & bonus possedé : 1 bonus anti-famine
1 Écorce Brune
1 Baie Cœur de Mer
1 Mousse des Marais
1 Toile d'Araignée
1 Miel
+2 dés de chasse bonusIcone :
Mar 6 Nov - 16:29
Thunder
Force
12
Agilité
3
Endurance
5
♀ 0 mois Bébé bruyant Loup blanc
Personnalité
- On dirait un ange. C’est vrai. On dirait. Mais si les anges tombaient sur Terre, ça se saurait. S’ils venaient sur Terre, on leur prendrait leurs ailes en espérant voler jusqu’au ciel ; et ça ne marche pas comme ça, non. T’es pas un ange. T’es même pas réellement « gentille » — ou alors seulement avec celle qui prenait plein de place dans l’utérus de ta mère et qui passait son temps à te donner des coups. Avec tes parents aussi. Des fois. Il y a aussi l’envers du décor : ce côté boudeur, impulsif et excessif. Ce besoin d’être vue, d’être entendue. Cette recherche constante d’attention et de tendresse, même si ton cœur à toi est similaire à un bloc de marbre. C’est difficile de t’ébranler ou de t’arracher un sanglot sincère ; toi, c’est plutôt les larmes de crocodile et les mensonges pour accuser les autres. On dirait un ange. T’entretiens soigneusement l’image et la façade pour qu’on ne te punisse pas, jamais. Parce que c’est toujours la faute des autres, rarement la tienne. Mais quand on te donne ce que tu veux, ça va. T’es pas si monstrueuse que ça ; tu cèdes même ton petit-déjeuner aux gens que tu aimes bien. Ils sont rares, bien sûr. Ça implique qu’ils te suivent aveuglément et te dresse au rang de déesse mortelle. Ça réclame de gros efforts pour passer au-dessus de ton caractère précieux et égoïste. Le pire, pour ces personnes-là, c’est qu’une fois que tu t’y attaches ils n’ont plus le droit de voir quelqu’un d’autre que toi.
T’as l’ivoire sur le dos. T’as l’albâtre collé à la peau. On dirait qu’on t’a repeinte en blanche seulement pour te paumer dans la neige ; ah… on te prend pour une colombe ou un autre de ces volatiles oisifs et naïfs ; on se dit que tu ressembles vraiment à quelque chose qu’on peut briser du bout des doigts. Papa, lui, dans sa tête suggère que t’as pioché dans ses gènes pour ce qui est des os. Pas trop fine, pas trop grasse. Juste ce qu’il faut pour survivre, avec la grande taille et les jambes démesurées pour être jalousée une fois grande. On peut te détester pour ton joli minois aussi. Le pire c’est qu’à force de l’entendre, tu vas apprendre à te servir de ce charme angélique et que ça deviendra probablement une arme — tu prendras aux autres et tu oublieras de donner quoi que ce soit en échange. T’es belle, trésor. T’es mignonne à souhait, comme tous ces gosses à qui on file le bon Dieu sans confession. Mais c’est comme tout, morveuse, rien n’est éternel. Un jour, toi aussi tu faneras.
Histoire
Père : SonveenMère :NalaFrères et/ou Soeurs :Une petite sœur
Hé, morveuse. Tu connais ton histoire, toi ? Moi je sais tout. Moi je sais tout. Jusqu’aux plus petits détails oubliés des loups concernés. T’es comme toutes les autres gamines de ton âge ; tu crois aux princesses et aux héros qui viennent les enlever ; mais c’est pas comme ça que les choses se sont passées. Moi je sais tout. Que t’étais pas désirée, par exemple. Que t’étais pas du tout prévue au programme et que ça a été comme marcher sur une lame de rasoir quand ils ont découvert ce que vous étiez, ta sœur et toi. Même qu’on vous a d’abord renié. On a dit que vous aviez été déposées là par on-ne-sait-pas-qui et qu’il va revenir vous chercher ipso-facto. Qu’au pire, si personne ne venait réclamer, vous pouviez tout aussi bien servir de repas.
T’as rien entendu de tout ça. Tu sauras jamais rien de tout ça.
On a fini par se résoudre, je crois, à s’occuper de vous. Vous passiez votre temps à brailler, après tout — jusqu’au moment où papa a eu la présence d’esprit de vous balancer sur le ventre de maman tellement vous le saouliez. Là-bas, vous avez avalé goulûment tout le lait qui vous passait dans la bouche. Toi plus que la deuxième, d’ailleurs. Et la même scène s’est reproduite encore et encore depuis; papa qui se fâche de vous entendre pleurer, maman qui cède finalement et vous nourrit maladroitement. On vous lave des fois, on se rappelle qu’un gosse se cajole et s’aime ; mais c’est mal fait. C’est tenté en tremblant sans vraiment savoir comment on s’y prend.
Tu vas grandir comme ça, Thunder — en appelant ton géniteur « Son » ou « Sonveen » plutôt que « Papa ».
J'ai découvert le forum : C'était grâce à bébé Idéale. Maintenant je suis si accro que j'ai pris un dc. Pardon. ;w; Sur le web on m'appelle stinging.witch [SW] ou Sonveen. et j'ai 21 ans Je vous aime ! ;w;