Le pluie balayais mes sens à leurs extreme mais alors que d'autre aurait fui cette atmosphère de chaos , moi j'y trouvais une renaissance , le marais m'engloutit comme rien avant de me laisser emerger semi-boueux. Je n'avais pas envie de chasser aujourd'hui mais je sentais en cette air difforme une ambiance que la journée n'allais pas être mauvaise. J'étalais mes crocs dans le noir pendant que les fines goutelettes m'attaquais de toute direction. Celle n'allais pas tarder a s'estomper alors autant donc en profiter. Je me posai ainsi sur un rocher , mes perles fixant l'horizon sale devant moi. Un spasme me déchiras l'arrière de la nuque. Je sentis cette douce effluve venir non seulement caresser mon museau mais également mes pensées. Je fût même capable à cette instant précis de me rapeller le goût distinct de son hémoglobine sur ma langue et le doux son de sa tête fracassant le son. Frisson. Salivation. Je leva la tête sans me donner la peine de sourire.
« Avoir su j'aurais frapper plus fort jusqu'à en voir ton cerveau sortir de tes yeux. Femelle. Néanmoins cela dois t'avoir affecter si tu ose te présenter devant moi sans ta horde. »
J'ignorais ton nom et faut dire que cela ne changeais rien. Tu me dérangeais dans mon propre confort et cela me frustrait et surtout , faut avoir sois de l’imbécillité ou de cran pour se ramener vers moi. C'est à ce moment précis que je me posa sur mes pattes pour m'avancer vers toi de face œil bleuté à œil bleuté. Ne sent-tu pas l'excitation de voir ton sang perler qui brûlent mes pupilles ?
Mes pas se faisaient lourds, je martelais le sol, rapidement, à bout de souffle, je courais, j'avais reconnu son odeur, mon dieu, mon héro, mon sauveur ! Mes poumons s'emplissaient entièrement de sa saveur, cette odeur qui m'enivre...
La pluie tombe en petite goutte sur ton pelage, tu la sens qui perle sur ta fourrure dense, elle efface cette odeur si chère à tes yeux, tu cours, encore et encore, puis tes yeux nuits le perçoivent. LE VOILA ! ENFIN ! Toi mon Dieu ! Je t'ai tellement cherché, mais me voilà, me voilà, me voilà enfin ! Un Dieu à besoin de fidèles. Même si seul moi devrais te suffire. Tu ralentis, te rapprochant de celui que tu adule, l'observant, tes yeux détaillant sa silhouette, son pelage. Il est là, face à toi, enfin, tu trépigne d'impatience. Tu en as vu des plaines, des monts, des vallées, des torrents, des ruines, tu les as tous bravés pour ce moment, CE MOMENT, c'est ta chance, c'est le tiens, toi, face à ton Dieu. Tu faillit t'évanouir de ravissement lorsque des sons sortir d'entre ses babines, tu buvais ses paroles, il ne semblait pas constater ton changement, alors ta voix s'éleva, répondant à ces quelques mots que tu gravais au fond de ta mémoire pour ne pas oublier les paroles de celui que tu adore.
<<- Je t'ai cherché partout, tu m'a libéré de cette horde d'imposteur et d'égoïste. Je voulais te remercier de m'avoir ouvert les yeux, tu me permets désormais de voir le monde sous un angle nouveau et de quitter cette illusion dans laquelle je vivais.>>
Il avance vers toi, tes sens s'affolent, ta tête se vrille de ses mouvements et son odeur te ferais presque perdre la tête ! Tu ne bouge pas, l'oeil calme, un calme qui cache tout ce que tu ressens, tout ce que tu vis face à ce héro. Son oeil croise le tiens, si tu pouvais rougir tu l'aurais fais, mais ton pelage dense et ta nature canine ne te le permet pas. Tu t'es assied, le sol est frais sous ton séant, tandis que tu attends qu'il reprenne la parole.
InvitéInvité
Dim 12 Aoû - 0:05
« Le chat est un lion pour la souris »
La souris
force 5 - agilité 5- endurance 15
M aëlstrom
En effet , tu avais assurement une cellule d'éclater au plus profond de ton être. N'as tu point conscience du danger dans lequel tu viens de te mettre les pattes. Je souris. Non il est certain que tu est naive à ce point. Je pouffas. <<- Je t'ai cherché partout, tu m'a libéré de cette horde d'imposteur et d'égoïste. Je voulais te remercier de m'avoir ouvert les yeux, tu me permets désormais de voir le monde sous un angle nouveau et de quitter cette illusion dans laquelle je vivais.>> Mes pas se stoppèrent .Je ne riais plus. En effet le sérieux pris place dans mes pupilles. Me remercier? Une colère s'incrusta en moi tel le pire des parasites. Je guettas les alentours en recherche de possible ennemis car faut dire cela était certainement une blague et je n'aimais pas qu'on rit de ma gueule. Je grogna. Non pas par tes paroles mais partes actions. Tu n'avais pas peur mais je sentais en toi ce désir. Un désir incertain bercer par cette douce odeur du sang qui pompe dans tes veines. Je les entend tu sais; je peut même le sentir ,mes griffes grattais le sol boueux. Tant d'émotions se bataillais dans mon crâne que sa me donnais un mal de chien. Ton âme je la veux entre mes crocs mon corps se courba et ce fût mes griffes qui entrèrent en premier en contact avec ta chair, profitant du moment opportun j'en profita pour planter mes crocs dans ta patte de facon à bien encrer ceux ci dans le peu d'espace entre les os qui forment ta jambe de sorte à te faire tomber sur le côté. Patte sur gueule, je profita des fines goutelettes de sang qui coulait de ta jambes pour gouter celle -ci . Je frissonna , il est étonnant comme le sang qui forme chaque loup peut avoir un goût différent. « Dernière volonté femelle ? Souhaite tu que je t'ouvre les yeux pour de vrai cette fois ? » Sussurais-je en approchant dangereusement ma gueule de ton oeil bleu , la glaire qui remontait facilement tant l'excitation était palpable.