working hard ✧ (inka)

working hard

Screaming the name of a foreigner's God, the purest expression of grief

 widar & inka  ϟ  (f12, a7, e7) 

Après avoir admiré les premières lueurs de l’aube sur la plage de sable fin jusqu’à ce que le soleil soit entièrement rond dans le ciel sans nuage et après s’être rendu dans la forêt de l’été pour chasser quelques proies pour son clan, en passant par la rivière de la source afin d’y capturer un ou deux poissons, le loup noir corbeau était rentré au camp avec son butin dans la gueule avant de le déposer dans le garde-manger. Bien que guerrier, il avait la possibilité de chasser pour sa meute et il ne s’en privait pas, appréciant particulièrement ces moments où il pouvait être seul à profiter du simple bruit de la nature, du bruissement des feuilles lorsque le vent souffle et de l’eau qui coule, louvoyant à travers les arbres.

Le zénith était largement dépassé tandis qu’il était allongé en plein milieu du camp, profitant des rayons du soleil pour se dorer le dos d’abord, puis le ventre, rassasié et n’aillant plus envie de bouger pour le moment. Pourtant, même dans cette position et malgré le fait qu’il se plaignait intérieurement d’un mal de pattes pendant sa chasse, Widar sentait ses membres le picoter d’excitation tant il avait envie de combat et de surprise. Se redressant alors, il guette le moindre loup dans son champ de vision, il les trie, sachant qui serait d’accord et qui ne le serait pas. Puis son regard s’attarde sur une petite louve à la fourrure blanche qu’il connaît depuis bien assez longtemps pour savoir qu’il s’agit d’une apprentie-sentinelle. Inka. Elle approche doucement de sa première année et elle gagnera bientôt le rang de recrue chez les sentinelles, une fois son entraînement terminé.
Il sait aussi et souvent qu’Inka n’est pas une louve très bavarde, et il n’y pas sûr de tirer grand chose d’elle. Et pourtant, il est près à essayer, à voir de ses propres yeux si elle est véritablement incapable de lâcher un mot. Il avait pourtant ouïe dire que la jeune demoiselle avait été empoisonnée par l’eau empoisonné d’un avion écrasé. Et même s’il avait pu la côtoyer pendant quelques mois, il n’était toujours pas convaincu. Il l’avait guettée de loin, à chercher le moindre mot qui pourrait sortir de sa gueule, mais rien, il n’était pas parvenu à la surprendre une seule fois en autant de temps et peu à peu, il commençait à se persuader que c’était peut-être vrai. Il était temps désormais qu’il s’intéresse davantage à elle et qu’il en sache davantage.

« — Inka. » l’appela-t-il, afin de capturer son attention. Lorsqu’il croisa son regard, il fut surpris de la banalité de ses prunelles, d’un jaune commun et vide, bien loin de la couleur ambré de ses propres yeux qui ont su capturer les louanges de toute sa famille à de maintes reprises. Mais c’est cette banalité qui fit que Widar allait s’intéresser davantage à elle. « — Viens, on va s’entraîner. » dit sur un ton plutôt amical, Widar soutient son regard pour bien lui faire comprendre qu’elle n’avait pas tellement le choix et qu’il le faisait aussi bien pour lui que pour elle, un entraînement ne fait jamais de mal car il est toujours bon de tester ses acquis et de s’apprendre de nouvelles choses.
Ainsi, Widar prit la tête de cette très légère patrouille afin de se rendre à un propice à ce qu’il avait prévu. Il l’emmena jusque là où il avait été le matin même : la plage. Lorsqu’ils arrivèrent là-bas, Widar poursuivit sa route jusque sur la falaise près de la chapelle sur un endroit dégagé où aucun des deux ne pouvait risquer tomber dans le vide. Il n’avait pas envie de mourir lors d’un simple entraînement. Plongeant son regard dans les prunelles banales de la louve, il prit une position de combattant avant de lancer : « — Bon alors, t’attends quoi pour m’attaquer ? »

DESIGN ϟ VOCIVUS

Working Hard (feat Widar)

Force (7) ; Agilité (9) ; Endurance (10)

Pour ne pas manquer à ses habitudes, Inka surveillait le garde-manger. Elle était l'un des plus jeunes de cette meute mais prenait ses responsabilités très à cœur. Elle surveillait le passage de chaque loup. Ceux qui venait manger, ceux qui venait déposer des proies fraîchement tuées ou tout simplement ceux qui restait près de ce lieu synonyme de vie sociale.

Le regard de l'apprentie s'attardait en particulier sur les anciens Aldark qui venait manger. Celui là tient... Il n'est pas encore sortit chasser aujourd'hui et le voilà qui se sert dans le garde-manger ! Pour qui se prend-il ! Il n'est pas chez lui en plus il a le culot de goûter au travail des autres. Si elle avait encore sa voix, Inka l'aurait certainement rabouté, mais elle n'en fit rien. Elle le fixa quelques secondes d'un œil noir puis laissa lentement glisser son regard sur un autre loup. Tient, celui là, avec le pelage noir, il semblait bien chargé !
Un mince sourire satisfait étira le visage de la louve argentée. Au moins certain ne chômait pas ! Elle le fixa donc lui aussi d'un air bien plus amical et fut assez surprise de le voir s'asseoir et l'imiter. Tient, c'était Widar. Un guerrier, ancien Arsek évidemment. Lui aussi se mit à parcourir du regard les loups présents, certainement à la recherche de quelqu'un. Lorsque les prunelles ambrées du guerrier se posèrent sur elle, Inka fut assez étonnée. Elle ne flancha pas et lui rendit son regard. Il semblait songeur, peut être la voyait-il sans la voir, perdu dans ses pensées... Alors elle cessa de le regarder pour baisser les yeux vers le tas de proies. De temps en temps, elle jetait de petit coup d’œil au loup noir qui ne la lâchait pas des yeux. Il semblait attendre quelque chose... Manquerait plus qu'il s'imagine que je vais venir lui parler ! Son museau frémit d'amusement tandis qu'elle détourna une nouvelle fois les yeux. Puis, alors qu'elle ne le regardait plus, le loup vint à sa rencontre.

« Inka. »
L'apprentie le regarda, surprise. Il semblait détendu.
«Viens, on va s’entraîner. » lui dit-il d'un ton autoritaire mais amical pour mieux maquiller son ordre.
Hiérarchiquement inférieur, l'apprentie ne pouvait pas refuser, ils le savaient tout les deux. Alors elle se leva avec un sourire de façade et cligna une fois des yeux en inclinant doucement la tête. Une habitude qu'elle avait prise pour donner son accord.

Elle suivit donc le loup avec une discrétion assez inhabituelle pour son âge. Malgré son air un peu renfermé, elle ouvrait grand les yeux et prenait plaisir à se dégourdir les pattes. Elle écouta le vent siffler et hurler contre la falaise. Elle se sentait toujours un peu mélancolique en entendant la nature chanter sans elle mais elle appréciait tout de même entendre ces sons et prendre le temps de regarder autour d'elle.
Lorsque Widar s'arrêta, ils se trouvaient en haut de la falaise, près de la vieille chapelle. Le terrain plat était parfais pour s'entraîner, trop loin du bord pour qu'ils ne risquent pas de tomber, mais ils suffisamment près pour sentir les embruns marins dans l'air.
« Bon alors, t'attends quoi pas m'attaquer ?» la surprit la voix du guerrier.
Inka sursauta presque. Elle l'avait oublié lui... Elle se releva alors et hésita quand à la démarche à suivre. Sauter ? Courir ? Mordre ou griffer peut être ? Elle chassa toutes ces pensées parasites en secouant la tête puis lança un regard de défit au loup avant de se mettre à lui tourner autour pour tenter de cerner ses défauts. Une technique de base que l'on apprenait à tout les apprentis dès le début de leur entraînement. Encore un peu maladroite, Inka s'élança un peu tôt et du rectifier sa trajectoire. Elle s'attaqua tout d'abord aux pattes, comme on le lui avait apprit. Avec des grognements, elle mordilla la patte avant droite du guerrier sans trop serrer, histoire de ne pas le blesser de trop.

Hors RP:

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Screaming the name of a foreigner's God, the purest expression of grief

 widar & inka  ϟ  (f12, a7, e7) 

Le regard de Widar semblait se perdre dans le vide tandis qu’il attendait impatiemment que la louve blanche lui saute dessus et tente quelque chose pour le déstabiliser. Le fait que ses pensées le submergent laissaient peut-être une chance à la future sentinelle de gagner une petite bataille contre le grand guerrier, mais il était évidemment que pour une novice, elle ne gagnerait jamais la guerre face à lui. Jamais face à cet amoureux de la guerre. Auquel cas Widar perdrait sa place dans ce monde.
La louve n’avait toujours pas dit un mot et ce silence commençait à le persuader sur le fait qu’elle était incapable d’articuler quoi que ce soit et qu’en elle, quelque chose semblait cassé, blessé. Et que jamais, ô grand jamais elle ne pourrait chanter comme le fait la nature. Jamais elle ne pourrait plus suivre les siens lors des longues sérénades à la nuit tombée. Mais il y avait quelque chose de bien dans ce mutisme : Widar n’aurait pas à supporter une apprentie trop bavarde à son goût.

Ainsi, comme il s’y attendait, elle finit par se détacher de son emplacement en tournant autour de lui. En raison de sa masse, il était certain que même si Inka poussait avec la plus grande force le grand loup noir, elle ne parviendrait pas à le faire bouger d’une moustache. Elle le mit à lui tourner autour - technique de base qu’on enseigne aux jeunes - afin de cerner les points faibles de son adversaire. Lorsqu’on est encore qu’un louvard et que notre mentor nous demande de lui tourner autour et de chercher le moindre défaut, ça ressemble à une tâche insurmontable. On se demande s’il y a vraiment quelque chose à chercher ou s’il nous teste et se moque de nous. Pour autant qu’il sache, Widar avait eut du mal à trouver les points faibles de celui-ci, puis il avait finalement appris que son mentor n’en avait presque pas, mise à part quelques défauts d’équilibre dont le loup ébène avait hérité, malheureusement.
Elle finit par s’élancer enfin et il manqua de lâcher un « c’est pas trop tôt ! » mais il décida de se taire, curieux de voir comment elle allait rectifier son erreur. Encore jeune apprentie, elle commençait mal mais il savait que par tous les moyens, elle parviendrait à apprendre de ses erreurs auprès de son mentor et des autres, mais quoi de mieux d’un guerrier, spécialiste des arts martiaux pour apprendre à une future sentinelle comment se battre ?

Il finit par comprendre qu’elle attaquait ses pattes - encore une technique de base. Il se laissa mordiller - parce que dans un entraînement, les coups de griffes et de crocs qui appelaient le sang était strictement interdit et tout bon loup le savait parfaitement, au risque de se faire réprimander, ou pire, punir. Lorsqu’elle s’attaqua à sa patte avant droite, il eut tout de même le réflexe de lever celle-ci au moment où il sentit les petits crocs aiguisées de la demoiselle sur lui. Néanmoins, et sans le savoir, elle s’était mise elle-même en difficulté, ne se rappelant peut-être pas des leçons de son mentor. En effet, elle n’avait pas agit assez rapidement, ainsi, le mâle noir retira brusquement sa patte de la mâchoire de la louve blanche avant de lever les deux pattes avant et de donner un coup dans le dos de son adversaire. Aussi facilement que cela, il venait de la plaquer au sol, lui faisait sûrement comprendre son erreur.

« — Oublie pas d’agir plus rapidement, sinon, il est trop facile pour moi de contre-attaquer. Allez, mets-y du tien. T’as peut-être pas envie de t’entraîner, mais moi j’ai pas envie de me faire envahir par les Inkyva parce qu’une apprentie sentinelle se serait fait avoir sur une leçon de base. Allez, on recommence ! Et cette fois-ci, prendre garde à ta trajectoire, attaque plus tôt - mais pas trop non plus, hein. » la conseilla-t-il, d’un ton plutôt neutre. On aurait crut que le mâle noir aurait pu être agressif, mais non ; sa seule volonté était de la voir progresser et tout ce qu’il disait était bon à prendre.

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Furibonde, la novice grogna au museau du loup. En cet instant, elle était bien heureuse d'être capable d'exprimer un minimum ce sentiment qu'est la colère. Sa queue s'agitait furieusement au sol mais elle ne se débattait pas. Elle écouta les paroles du loup avec un œil noir, n’appréciant pas vraiment d'être ainsi prise de court. Elle s'en voulait plus à elle qu'à lui. Il avait raison de la traiter ainsi, elle n'attendait aucune faveurs de sa part, mais elle s'en voulait d'être incapable de progresser.

Ses yeux s'illuminèrent d'une détermination nouvelle. Elle se mit à gigoter entre les pattes du grand loup. Tout d'abord timidement, puis avec hargne. Elle finit par souffler de frustration et le regarda dans les yeux avant de lui donner un gros coup de ses pattes arrières dans le ventre. Un coup traite mais qui marche à tout les coups ! Elle sentit qu'il perdait l'équilibre et en profita pour le frapper du côté ou il penchait. Cela ne suffit pas à le faire tomber mais elle pu se libérer de son emprise. Voilà qui était mieux ! Elle bondit sur ses pattes et n'attendit pas plus longtemps comme il le lui avait conseillé. Elle s'élança vers lui pleine de détermination. Elle voulait devenir la meilleur, hors de question de se laisser malmener ainsi, elle allait lui montrer de quel bois elle se chauffe ! Avec un air concentré, elle feinta une fois à gauche avant de bondir à droite. Si tu crois que je vais me laisser faire... Tu te mets la patte dans l’œil ! Et ce n'est pas parce que je ne peux pas te le dire que tu le seras pas !

Avec un léger sourire en coin, elle sauta sur le dos du loup aussi vite qu'elle le pu. Elle était encore trop lente par rapport à un guerrier sur-entraîné comme Widar, mais elle était tout de même assez contente d'elle. Certes, elle n'avait aucune force physique, certes elle était petite, certes elle n'avait aucune expérience en combat, mais elle avait la détermination nécessaire pour progresser. Elle pouvait se montrer rapide et avait, contrairement à Widar, beaucoup d'équilibre. C'était également une futée qui se sert de sa tête plus que de ses crocs, et elle savait user de l'agilité que lui offrait son petit corps. A la voir, on lui aurait donné une tête de guérisseuse, frêle et petite, mais si l'on croisait son regard jaune, on devinait la force de caractère dont elle savait faire preuve.

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 widar & inka  ϟ  (f12, a7, e7) 

Inka n’avait pas l’air d’avoir réellement apprécié la facilité avec laquelle le loup noir l’avait plaqué au sol, et cela se confirmait au grognement qu’elle venait de pousser. Voilà peut-être la première chose qu’il parvint à entendre sortir de sa gueule et il resta interdit quelques instants, suffisamment pour baisser la garde et laisser la demoiselle lui filer entre les pattes. C’est au dernier moment, après s’être tortillée dans tous les sens, qu’il vit son regard déterminé et sentit son coup traite dans le ventre. Il lâcha un hoquet de surprise et tituba un instant. La petite en profita pour en rajouter une couche, si bien que le mâle noir faillit perdre l’équilibre et s’écrouler. Mais il tint bon.
Néanmoins la petite louve s’était dérobée de l’emprise du guerrier qui avait un air étonnamment satisfait sur le visage : il était heureux que la louve blanche prenne ses conseils au lieu de les envoyer balader comme d’autres apprentis.

Widar se remit alors aussitôt sur ses pattes, paré au combat. Ni une, ni deux, il la vit feinter à gauche puis bondir à droite. Rapidement, elle se retrouva sur le dos du mâle, à sa plus grande surprise. D’abord secouant son corps pour la faire tomber, il comprit vite qu’elle avait la hargne désormais et qu’elle ne lâcherait pas si facilement. Le guerrier roula dos sur le côté pour se libérer de son emprise et se remit sur ses pattes. Il s’éloigna un instant, le temps de reprendre son souffle et de la laisser se relever. Puis, il s’élança sans prévenir, droit sur elle. Puis, au dernier moment, il sauta au dessus d’elle afin d'atterrir derrière. Il retint sa chute grâce à un dérapage calculé avant de lui donner un coup de patte, afin de balayer ses deux pattes arrière et de la déstabiliser. Il donna un violent coup de tête dans sa hanche afin de la faire basculer sur le côté et se jeta sur elle.
Il était hors de question pour Widar de se laisser battre. Et désormais, le combat était la seule chose qui comptait, ses conseils, il les gardait pour lui. Elle était encore trop déterminée.

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Il ne prend plus de pincettes...

Inka était secouée comme un prunier par le loup noir. Il bougeait furieusement dans tout les sens mais elle tenait bon. Elle devait lui montrer de quel bois elle se chauffait ! Elle resserra son emprise et s'accrocha de toute ses forces à son dos, ne pouvant retenir des grognements. Mais lorsqu'il se jeta à terre et roula sur le dos, elle fut obligée de le lâcher. C'était comme si tout l'air de ses poumons venait d'être expulsé d'un coup. Elle poussa un couinement pathétique qui lui fit honte la seconde suivante. Haletante, elle se releva aussi vite que son corps le lui permit, cligna plusieurs fois des yeux pour reprendre ses esprit puis reprit une position de combat. Elle avait perdu de vue le guerrier. Merde !

Elle devina eu tout juste le temps de le voir sauter derrière elle puis sentit un grand coup tenter de lui faucher les pattes arrières. Elle manqua de perdre l'équilibre mais se rattrapa de juste, mais évidemment, Widar ne s'arrêta pas là... Il ne perdit pas plus de temps et lui donna un coup de tête dans les hanches, achevant de la faire basculer sur le côté. Les yeux écarquillés par la stupeur, la jeune apprentie sentit son corps rencontré durement le sol elle ferma les yeux et tendit les pattes pour tenter d'amortir sa chute. Puis, haletante, elle tenta de se relever aussi vite que possible mais pas assez pour éviter le nouvel assaut de Widar qui ne lui laissait pas une seconde de répis. Le grand loup était déjà sur elle. Inka sentit sa détermination vaciller. Non ! Pas maintenant ! Ce n'est pas le moment de tout gâcher !

Elle avait la furieuse envie de le mordre jusqu'à ce qu'il la lache. C'était très frustrant. Elle avait l'impression irrationnelle qu'elle gagnerait si elle avait pu le blesser. Il était évident que quelque soit la situation, Widar aurait le dessus, mais elle voulait espérer qu'elle avait ne serait-ce qu'une chance. Elle se débattit de son mieux, avec hargne et ténacité. Elle se fatiguait pour rien, elle le savait, mais c'était plus fort qu'elle. Elle voulait au moins essayer de se libérer, de toute les façons possibles. Alors elle enchaînait les coups dans le ventre, les secousses brutales et tenta même un coup de tête mais Widar ne la lâchait pas. Il avait autant envie de perdre qu'elle. Je n'abandonnerais pas ! Elle grognait de frustration, ses muscles commençait à la faire souffrir et elle sa respiration était très saccadée. Elle commençait à vraiment se fatiguer mais sa fierté l'empêchait d'abandonner alors elle continuait de se débattre inutilement. Mais tu vas me lâcher à la fin !

(F 7/A 9/E 10)