Aux claires de lune, ce même astre qui illumine le monde sur lequel nous vivons s’installant sur son trône d’ivoire. Sous sa douceur et son règne, tu sors sans aucun gène traversant les forêts et les plaines jusqu’à assouvir se désire de liberté. Humant l’air, tu laisses ton instinct guider tes pas, comme si tu étais en quête d’une chose inconnu. Pour la première fis de ta vie, tu sembles tranquille, presque apaisait oubliant les fantômes du passé. C’est si étrange mais chaleureux, d’être un être normal, sans aucune peine et sans regret. Seulement, ce moment de bonheur ne sera pas infini, dans quelques heures, tu seras de nouveau hanté par le monde des morts.
Un soupir, un énième soupir qui sera suivi de bien d’autre au fil des secondes. En dehors de chez-toi, tu pouvais être n’importe qui, tu pouvais être tout le monde et personne en même temps. Qui sauras ce que ton cœur brisé cacherait derrière ton visage neutre ? Personne, absolument personne, tu avais deux ans, et seulement maintenant, tu comprenais que personne ne te connaissait. Était-ce la clé à ton propre bonheur ? Tu ne savais plus quoi faire, laissant ton pelage s’accrocher aux branches des buissons, tu perdais quelques touffes de poils, rien de bien alarmant.
Observant les pépites blanches scintiller dans le ciel étoilé, tu les regardes avec envie. Tu le savais que tout serait bien mieux si tu n’étais plus de ce monde, mais la mort elle-même ne te désirait pas, alors ta reine t’avais accepté, elle avait accepté que tu deviennes son esclave, car tu n’avais plus rien pour rester en vie, plus de but, plus de volonté.
T’enfonçant un peu plus dans les marais, tu vois cet étang. Tu avais envie de plonger à l’intérieur jusqu’à ce que tes poumons ne possèdent plus d’oxygène, mais sa voix, tu l’entendais et elle refusait que ton corps avance jusqu’à l’eau verdâtre.
La tête basse, tu restes assise, à contempler ton reflet sans rien dire, sans même porter la moindre attention au canidé qui venait d’arriver.
Seul la lune et les étoiles éclairaient le ciel, en ce temps sombre autour de moi. Je marchais hors de mes terres sans savoir, où que j’allais me retrouver et auprès d’un danger ou non. Cela m’était égal pour le moment j’avais besoin d’être seul c'est oui se passer ses moments difficiles qui, on laissé, comme seul trace ses cicatrices sous mes yeux étaient revenu me hanter. Je respirais rapidement tout un coup j’avais envie de tué tout d’un coup, j’espérais que mes pas allaient m’apporter dans un lieu sur au moins. Après quelques minutes je m’enfonçais de plus en plus et il avait tout d’un coup une odeur d’eau morte, je grimace. Très bien j’allais devoir endurer cette odeur.
Je regarde un moment la lune et le ciel pour ensuite pousser un hurlement déchirant et en colère, oui se passer me mettait hors de moi. Soudainement je sens la présence d’un autre loup, très bien je n’étais ,donc pas seul ici. Je m’avance pour suivre l’odeur, quand soudainement j’arrive à ses côtés. Je restais de mon bord ne voulant pas le déranger plus. Visiblement il était dans le même état que moi, ce loup et même encore plus pire je crois. Je dis d’un ton froid et en colère et vraiment trop calme.
Ses pensées sont dur n’est-ce pas…
Je regarde pour la je ne sais trop combien de fois cette étendu étoilé, pour ensuite regarder mon reflet dans l’eau. Décidément oui, je pouvais très bien faire peur avec ce regard de cicatrices. Je grogne pour ensuite laisser le silence revenir nous hanter, le même silence si horrible parfois que j’ai dû subir. Je tremble pour ensuite me coucher sur le sol, bizarrement je sentais une part de moi qui étais partie ce soir. Je me sentais vraiment bizarre. Je me demandais vraiment, qu’allait être les paroles ou les gestes du loup. Il me semblait aussi appartenir, à une autre meute que la mienne ,car il avait une odeur particulière sur lui. J’espérais qu’elle n’était pas ennemie avec ma meute tout de même, mais cela se pourrait fort bien. Je venais d’arriver après tout, je ne savais pas tout encore de la meute et de ses alentours. Soudainement je ferme mes yeux j’aimais bien ce silence, malgré que parfois il annonçait bien des événements par la suite
Aussi, loin, que tu te souviennes, tu apercevais toujours son visage. Un sourire sur les babines, les yeux fermés de bonheur, puis ensuite, le trou noir. Elle n’était plus là, cette chaleur qui depuis longtemps t’avais animé, elle venait de disparaître en quelques secondes sans te dire un dernier au revoir. Ce jour-là, tu avais tellement perdu, ta vie, ton âme, tout ce qui faisait que tu étais toi. Seule, depuis bien longtemps, tu passais ton temps à marcher sans savoir où aller, explorer, sans réellement retenir les endroits. Par moment, tu trouvais de la compagnie, bonne ou mauvaise, il ne t’apportait peu de chose.
Celui que tu n’avais pas senti s’approchait à son tour de l’étang. Il grognait avant de t’adresser la parole, puis grogna de nouveau avant de s’écraser sur le sol. Tu ne disais rien pour le moment, cette odeur te rappelait celle de la meute ennemie, mais tu ne faisais rien pour le déchiqueter. Tu n’en avais pas la force en cette nuit, peut-être que lui oui, dans ce cas, ce serait très simple, la mort viendra te chercher pour te ramener auprès de celle qui avait partager le ventre de ta mère.
« Il est toujours dur de fuir notre passé. »
Ce sont les seuls mots qui s’échappèrent de ta gueule pour affronter le mâle qui était allongé non loin de toi. Jetant un regard dans sa direction, il n’était ni agressif, ni joyeux, c’était seulement un regard sans aucune émotion. Par moment, tu avais envie d’approcher, de savoir ce que cela faisait de faire connaissance avec l’interdit, mais tu avais bien trop de respect pour ta reine pour faire une telle action. Ton corps restait immobile, laissant ton regard sur le canidé pour revenir sur ton reflet.
J’ouvre mes yeux à ses paroles oui, il avait raison, il était dur à fuir,mais nous devons l’affronter. Car sans cela, il allait,nous pourrie le restant de notre vie je le fixe de mon regard balafré et j’observe le loup. Quand tout d’un coup, je sens de nouveau la pression qu’il m'avait appliquée, avec ses crocs et sa mâchoire sur mon œil. Je secoue aussitôt la tête pour ensuite me relever d’un bon et j’allais en marchant vers le loup. Je ne voulais plus aller de ce côté de l’étang, ayant vécu une mauvaise sensation.
J’étais seulement, à quelques mètres du loup maintenant, je me recouche de nouveau sur le sol et je regarde de même mon reflet. Pourquoi avoir eu ce genre de passé que j’aurais pu très bien éviter. J’aurais dû savoir protéger ma mère comme cela,je n’aurais pas eu à assister à sa mort et encore moins, avoir fuis mon père comme un lâche après avoir tué le loup. Mais bon au moins j’avais reçu une correction de mon père, que je n’avais pas apprécié à son endroit. Il m’aurait fait perdre la vue, je l'aurais tué aussi. Je me demandais bien, ce que mon père disait de moi actuellement. Surtout,j’espère que mon frère allait bien et qu’il n'avait pas rencontré notre père en chemin.
Oui,tu as bien raison, surtout quand tu ne fais plus confiance à ton père celui qu’il te reste de ta meute… Il m’a donné une correction cette cicatrice sur mon œil. Au moins il me reste mon frère,mais je ne sais s’il est encore en vie…
Je le regarde d’un regard glacial et compréhensif tout d’un coup, j’espérais qu’il allait se confier. Je l'ai fait même si cela, n’était vraiment pas facile pour moi, cela était rare que je le faisait. Parfois, cela faisait du bien d’en parler, surtout que je sentais que ce loup vivait la même situation que moi actuellement.
Le mâle bougeait, tu l’observais du coin de l’œil. Il semblait perturbé par quelque chose, son passé, tout comme toi apparemment… Se levant pour s’installer plus près de ton corps, tu ne pues t’empêcher de tourner la tête pour le regarder faire. S’allongeant comme un rocher tombant du ciel, sa respiration devait plus rythmer, puis sa gueule s’ouvrit laissant des paroles s’envoler jusqu’à atteindre de nouveau tes oreilles.
« Oui,tu as bien raison, surtout quand tu ne fais plus confiance à ton père celui qu’il te reste de ta meute… Il m’a donné une correction cette cicatrice sur mon œil. Au moins il me reste mon frère,mais je ne sais s’il est encore en vie… »
Puis le silence retomba entre les deux individus. Ce silence était comme mortel, tu ne te sentais pas à l’aise avec ce qu’il venait de te dire. Il avait raconté un bout de son passé, une chose personnelle qu’on ne dévoile en générale qu’à ses proches. Mais il te ressemblait, tu te retrouvais en ce mâle qui avait tant perdu, tout comme toi. S’il t’avait confié sa vie, c’était parce que lui aussi, n’avait personne à qui parler, à qui dévoiler sa peur et sa haine. Les secondes devenaient des minutes et tu restas silencieuse. Puis tu pris ton courage et commenças à ouvrir la gueule à ton tour pour t’exprimer.
« Je n’ai plus de famille, ma sœur est morte durant une chasse et mes parents ne m’ont plus regardé du même œil depuis. »
Que dire de plus ? Tu aurais pu parler durant plusieurs heures, mais à quoi cela servirait-il ? Il ne pourra jamais la ramener, tu resteras seule jusqu’à la fin de ta vie. C’était t'a destiné et personne ne pouvais modifier ce vecteur qui t’avais choisi à ta naissance.
A ton tour, tu t’allongeas en tournant la tête vers le noir, analysant son corps pour y déceler ses faiblesses au cas où, il attaquerait sans aucune raison.
J’écoute en silence les paroles de la louve très bien, elle avait vraiment vécu l’enfer elle aussi alors. C’était vraiment impossible pour moi, de réaliser ce qu’elle avait vécu, car j’avais moi-même vécu un truc semblable, c’était vraiment horrible son histoire. Je ne savais que dire actuellement à ses paroles, je regarde longuement le ciel. Après quelques minutes de réflexions, je me décide enfin de lui répondre d’une voix assez froide mais compréhensive tout de même.
Je suis vraiment désolée, c’est horrible et impensable pour ta sœur. Encore plus pour tes parents, ils ont vraiment pris une décision impensable. Je ne sais ce qu’il s’est vraiment passé, mais ils ont sûrement eu tort d’agir ainsi.
Je la regarde s’allonger à mes côtés, je me demandais bien ce qu’elle pouvait se demander. Car j’avais remarqué qu’elle m'observait attentivement, je n’avais aucun goût de l’attaquer alors qu’elle se calme cette louve. J’étais nouveau dans la meute ennemie et je ne savais pas encore vraiment le pourquoi, que nous étions ennemis auprès d’eux alors cela donnait quoi d’attaquer pour rien. Mais cela était certain que j’allais être plus vigilant à l’avenir si des loups de cette meute se présentent sur nos terres, je saurais reconnaître leurs odeurs maintenant. Je l’observe à mon tour pour ensuite soupirer, peut-être que cette louve pourrait m’en dire un peu plus dû pourquoi nous étions ennemis. Je me regarde un moment pour ensuite m’asseoir finalement.
Vu que je suis un nouveau dans la meute, puis-je savoir pourquoi nous sommes ennemis ?
J’étais toujours sur mes gardes, mais cela ne paraissait pas vraiment, je savais bien le cacher pour en savoir un peu plus sur les autres et pour m’approcher d’eux. Je me demandais vraiment qu’allait être sa réponse, j’espérais que ses paroles allaient pas conduire non plus à une bagarre. Je regarde autour de moi le lieu pour ensuite grimacer, il avait vraiment une odeur dans ce lieu qui me dérangeait. J’espérais qu’elle allait disparaître tout de même, car je ne resterais probablement trop longtemps. Mais au moins je devais faire connaissance, auprès de cette mystérieuse louve.
Le silence refaisait surface, et tu détournas le regard après qu’il ait remarqué tes pupilles sur son corps. Tu restais là à écouter ce qu’il disait sans vraiment écouter. Tu te fichais de ce qu’il pouvait penser, tes parents avaient fait ce qu’ils pensaient être justes pour eux. Tu étais devenu un véritable démon à leurs yeux, aimant faire du mal. Tout le contraire de ce que tu étais par le passé. Ta vie ne tenait qu’à un fil, celui de ta sœur. Maintenant qu’elle n’était plus de ce monde, que deviendrais-tu ? EH bien la réponse était simple, rien du tout.
Tu ne répondais pas aux mâles, laissant le silence redevenir roi, mais ce silence ne dura pas suffisamment longtemps à ton goût avant que le canidé noir ne pose une question. Un sourire s’afficha sur tes babines et un rire suivit cette expression tout en fermant les yeux. Tu ne pouvais t’empêcher d’exprimer ton amusement pour cette question que tu n’avais pas du tout vu venir.
Après quelques minutes de rire, tu pris un air sérieux et plongea ton regard dans celui du ténébreux.
« Nous sommes ennemis parce que ma meute, Sekmet s’est allié avec une seconde meute, les Navnik. Face à cette alliance, les Aldark se sont allié avec une meute vivant ici bien avant notre arrivée pour nous détruire. Il est étrange que tu ne connaisses pas cette histoire. »
Tu parlais froidement, mais avec fierté quand tu prononças le nom de ta meute, les Sekmet, à tes yeux, c’était une honte de s’être allier avec des faibles, mais d’un point de vue stratégique, c’était sûrement la meilleure solution.
Je regarde alors avec stupéfaction la louve, non mais pourquoi avait t’elle rie. J’avais posé une simple question, je venais de rentrer dans cette meute après tout, alors je ne pouvais pas tout savoir encore. Mais maintenant grâce à elle, je savais tout pourquoi. Je souris légèrement à son air sérieux, pour ensuite m’asseoir et l’observer longuement. C’était donc pour cela une histoire d’alliance les détruire et bien cela était vraiment courant entre meutes, on dirait bien. Mon présent allait être pas une copie conforme de mon passé, mais presque car un jour ou l’autre,je devrais me battre avec cette louve devant moi. Comment j’allais ressentir cela vu que la rencontre actuelle, allait plutôt bien, je ne savais pas trop. Mais une chose était certaine, je devais rester de marbre cela était la meilleure solution que j’avais trouvée actuellement. Je lui jette soudainement un regard glacial pour ensuite sourire, je me demandais déjà comment elle se débrouille en combat. Mais je ne voulais pas la tester cela allait être quand le temps en décidera, car je ne voulais pas non plus réveiller des mauvais souvenirs en moi. Ha voilà, c’est assez spécial et assez courant, je dirais surtout pour moi. Mais cela veut dire qu’on doit se battre ensemble s’il advenait à avoir une guerre. Je suis nouveau alors je ne sais pas encore tout… Mais c’est tout de même une histoire terrible tout cela,je dirais.
Je laisse soudainement le silence remplir l’endroit, je regarde le ciel. Pour ensuite grimacer tout d’un coup, j’avais envie de vengeance, mais je devais trouver une bonne occasion pour frapper. Pour le moment, cela n'était pas le bon moment car aussi, je devais me faire de bon lien du moins essayer. Car je n’étais pas un loup évident à cerner.
Tu laissais la parole au canidé couleur charbon, l’observant du coin de l’œil tu essayais d’analyser son comportement qui était assez peu évident à comprendre. Il avait un corps suffisamment musclé pour te mettre à terre, mais tu étais rapide et avais envie de gagner si quelque chose devais arriver. Tu te fichais des Navnik, ils ne faisaient pas parti des tiens à tes yeux, si l’un d’entre eux devait perdre la vie, cela ne t’affecterait pas vraiment, à tes yeux, seule une femelle avait le droit d’avoir le nom de reine et tu la servirais jusqu’à la fin de ta vie.
« Nous n’avions pas vraiment le choix je dirais, les guerres ne cesseront jamais et pour un oui ou un non, nous finirons encore une fois ennemis. »
Tu repensais a ta sœur, la seule que tu aimais de tout ton cœur, celle qui avait disparu brutalement. Le monde était replis de cruauté, tu devais être plus cruelle que la vie elle-même et tuer tout ce qui se mettrait en travers du chemin de ta reine. C’était ta dernière raison de vivre, que ferais-tu si elle disparaissait ? Tu ne le savais pas, mais tu comptais énormément sur sa descendance pour te donner une autre raison de vivre.
Pourtant, ce canidé qui était ton ennemi, tu ne l’avais même pas effleuré, il était assis, juste à côté et pourtant le sang n’avait pas coulé. Tu commençais à douter de toi, de ce que tu voulais, tu ne savais plus comme réagir, c’était si frustrant, mais pourtant tu ne bougeais pas, restant immobile à regarder le vide.
« Xilven, c’est mon prénom. Quel est le tien ? »
Que faisais-tu ? Tu ne savais pas. Voulant peut-être penser à autres chose, faire comme si tu ne savais pas qu’il était ton ennemi, peut-être pour éviter d’avoir des regrets plus tard. Tu ne savais plus rien, mais tu faisais confiance en ton instinct, après tout c’était la seule chose qui te restait.
Oui, effectivement, elle avait tellement raison ses guerres ne cesseront jamais et ferait toujours du mal aux autres toucher et cela peut-être à jamais. Je sais de quoi je parlais,car je n’en n’avait moi-même vécu et c’était loin d’être une partie de plaisir tout cela. Je savais qu’elle était mon ennemi, mais visiblement elle ne me voulait rien présentement alors pourquoi je l’attaquerais. J’allai laisser cela mort mais si un seul signe apparaît, j’allais sûrement réagir ou pas tout va dépendre. Actuellement moi et cette louve nous étions ennemis, mais ont, se parlait comme des amis après tout c’était assez bizarre tout cela. Nos membres de notre meute, aurait vraiment trouvé cela bizarre je n’en n’étais certain.
Je la regarde attentivement et je la détaillais encore et encore, elle me semblait être une bonne louve tout de même au combat. Je souris légèrement, pour ensuite regarder longuement le marais. Je me demandais bien le nombre d’animaux qui aurait pu rester pris à l’intérieur de celui-ci, cela devait être un bon lieu de chasse. Car selon moi,le marais était un bon lieu pour emprisonner les proies.
Oui,elles ne vont jamais arrêter malheureusement et vont toujours blesser les autres touchés.
Je souris à son prénom tout en regardant le ciel, j’aimais vraiment son prénom. Cela lui allait, tellement bien moi, c’était Darker tout pour me représenter physiquement et mentalement. Tout pour représenter, mon passé noir et mon caractère. Je me demandais bien, comment elle allait trouver le mien spécial effrayant ou bien, je ne sais trop quoi encore. Surtout,que je pouvais faire facilement peur avec mes yeux bleus et cette cicatrice.[/size][/size]
Je me nomme Darker...
Bon, voilà qui était dit, je l’observe de nouveau de mon regard bleu. Pour ensuite être pensif soudainement, je me demandais si ma meute connaissait cette louve. J’allais alors leur en parler quand j’allai les revoir tout à l’heure ou une autre fois quand viendra le temps. Je me demandais, comment allait être la suite de cette rencontre. J’espérais surtout qu’elle ne voudrait pas de moi déjà que sa meute veux ma meute, mais je serais me défendre. Je serais encore plus défendre ma meute au péril de ma vie.